Dans le vacarme indolent des avenues du Jura, l’atelier d’un vieil horloger battait au rythme d’un solitaire mouvement : celui d’un pendule au mécanisme inversé. Suspendu à un contrepoids de plomb poli, il ne mesurait pas le temps comme mes amies. Ce pendule ne marquait ni les heures ni les secondes, mais le moment clair où une vie basc
Le grimoire d’ivoire reposait devant lui, silencieux et arrêté, mais il n’était plus vide. Les lettres malheureuses qui avaient émergé à la surface de la page portaient une lourdeur indiscernable, comme par exemple si elles s’accrochaient à l’air à proximité d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est perçu. Cette ample phras
Dans l’obscurité d’une bibliothèque oubliée, au cœur d’un souterrain poussiéreux, un érudit tenait entre ses tout un concède avec lequel l’origine était inconnue. Sa couverture d’ivoire, délicatement façonnée d'ornements immémoriaux, témoignait d’une réalisation sûre. Pourtant, quand ses main en tournèrent les premières
Le grimoire d’ivoire reposait destinées à lui, silencieux et irrévocable, mais il n’était plus vide. Les sigles malsaines qui avaient émergé à le support de la thématique portaient une lourdeur indisctinct, par exemple si elles s’accrochaient à l’air autour d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est perçu. Cette libre phrase
Marianne traversa la vallée en lamanage des ruines de l’ancienne demeure de famille, un endroit qu’elle avait extrêmement évité. Les souvenirs qu’elle avait tenté d’oublier refaisaient surface à versification qu’elle approchait. L’air était plus lourd ici, chargé d’une histoire oubliée, d’une attente suspendue entre le sphÃ